La facilitation en Voice Dialogue est un art qui répond à des règles précises.
Hal et Sidra Stone ont ainsi créé une théorie basée sur une conception précise de la conscience, et une méthode d’exploration de cette théorie : le Voice Dialogue.
Cette méthode est très spécifique. Ce sont ces particularités que nous développons dans cet article. Un peu arbitrairement, nous en avons défini sept.
L’art du stretching dans une séance de Voice Dialogue
Il existe une technique essentielle en Voice Dialogue, que nous nommons le stretching, c’est-à-dire l’art d’étirer une polarité. Lorsqu’une personne désire travailler sur une situation et un problème précis, cette façon de travailler est particulièrement appropriée. Du point de vue du Voice Dialogue, c’est le fait d’être identifié à un système primaire qui fait que la vie devient difficile et, qu’à un moment ou un autre, une personne vient chercher de l’aide.
Si le système primaire est l’ensemble des co-personnalités qui dirigent notre vie, le mental rationnel en est, et de loin, le Régent Absolu ! Cette co-personnalité est si dominante dans notre société occidentale que la plupart du temps nous ne la reconnaissons même plus comme une co-personnalité. Pour certaines personnes, cette co-personnalité est considérée, à elle toute seule, comme étant l’ego. Par exemple dans certains référentiels spirituels, où il est vu comme l’obstacle à dépasser sur le chemin spirituel.
Dans cet article, nous proposons de clarifier la place du Mental dans la Psyché.
Dans cet article, une série de question souvent posées par un faciliteur débutant, et des réponses possibles: présence d’un Observateur comme partie primaire, différenciation de la partie primaire, aller chercher une polarité ou non…
En fin d’article, une partie des FAQ sur le Voice Dialogue, reprises en totalité sur une page dédiée de ce site.
J’aime revenir dans cet article sur le but d’une séance de Voice Dialogue et de quelle façon elle va amener une transformation.
Le but d’une séance de Voice Dialogue est bien sûr l’exploration des co-personnalités.
Mais un autre aspect sous-tend également la séance : le travail du faciliteur est d’aider le facilité à renforcer son pouvoir, ce qui entraîne en dernier ressort qu’il est celui qui sait pour lui-même.
Trois exemples seront présentés pour illustrer mon propos.