Il existe en nous une source de malveillance qui nous met en difficulté. Je ne parle pas de la malveillance envers les autres. Même si cette source acide, empoisonnée, peut avoir aussi cet effet.
Je parle surtout de cette malveillance envers nous-mêmes. De ce manque global d’estime de nous, de cette rapidité à douter de nous, à nous dévaloriser, à nous remettre sans fin en question.
J’ai le plaisir de vous présenter le livre de Dianne Braden sur la vie et l’oeuvre de Hal et Sidra Stone.
Je suis en train de le traduire et je ne résiste pas à vous en donner un avant goût avec le récit de la toute première séance de Dianne avec Hal puis avec Sidra.
Hal et Sidra Stone ont ainsi créé une théorie basée sur une conception précise de la conscience, et une méthode d’exploration de cette théorie : le Voice Dialogue.
Cette méthode est très spécifique. Ce sont ces particularités que nous développons dans cet article. Un peu arbitrairement, nous en avons défini sept.
La spécificité du Voice Dialogue est l’écoute de chaque co-personnalité à partir d’un espace vibratoire ou d’une co-personnalité semblable à celle qui parle chez notre client. Au delà de cette spécificité, l’écoute thérapeutique reste celle définie par Rogers.
Non seulement le Voice Dialogue répond aux principes de Carl Rogers, mais il donne à tout accompagnant la capacité de pratiquer réellement cette écoute.
Cet article est rédigé pour une relation thérapeute / client. Ce qui y est développé reste cependant la base de l’écoute pour tout accompagnement, coaching, etc.
Reconnaître en nous l’Enfant-Peur, rester en lien avec lui, et pourtant nous décaler de son champ vibratoire, informationnel, très magnétique, pour pouvoir activer en nous cette grande force : l’Enfant-Lumière.
Il ne s’agit pas tant de guérir l’Enfant qui porte toutes nos peurs et terreurs d’enfance, tout comme les peurs et terreurs transgénérationnelles ou transincarnationnelles, que de le connaître et de s’en décaler.